3 novembre 2007
Je déchire votre connerie de poème
Je détruis votre positivité
Je nique ça pour le voir saigner
Je le tape pour le faire crier
Je suis le choix alternatif
Vous voyez la beauté, je vois la douleur
Vous voyez le ciel, et je vois la pluie acide
Je t'égorge sur un caprice
Je demande juste tout
J'appuie dessus pour le sentir respirer
Je le brise pour attiser ce besoin
Je suis l'antidote
Quelques soient les maladies qui te nourrissent
Tous tes connards de suceurs ne peuvent pas saisir la chaleur
Ton sang se précipitant de la tête aux pieds
C'est ce que je représente
Je suis plus résistant que tu ne le peux
C'est encore moi
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