Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

.

Albums Photos
11 novembre 2007

The last...

Stop_the_Music_by_mooaco

Ce sera la dernière fois,
Que l'encre s'écoulera
Ce sera l’ultime texte
L’apogée et le grand final,
De ma carrière ridicule,
Ce sera le dernière escale
Puis je m’en irai sans scrupule.
Je suis lassé d’écrire un monde
Lassé de décrire l’immonde,
Chaque instant et chaque seconde
J’entends le tonnerre qui gronde...
Sous la tempête acidifiée,
Cerné d’horizons foudroyés
Et dans ce lugubre spectacle,
Cette chanson de l’agonie
Viendra sonner comme un miracle
Dans le silence de la nuit.
Au milieu des ruines urbaines
Poussent de ténébreuses graines
Des « Tournelunes de trottoirs »
Ses grandes fleurs teintées de noir.
Ce sera l’hymne des mutants,
Des générations modifiées
De ceux qui n’ont pas eu le temps
De ceux que l’on a sacrifié...
Ce sera la chanson de fin,
La fin d’une vie, d’une histoire
La phrase veut qu’on mette un point
Et ce sera le point final.
Puisque je n’ai pas à me plaindre
Je cesse simplement de geindre
Je n’ai plus assez d’encre noire
Pour écrire d’autres histoires.
Pourtant j’aimerai tellement
Ecrire jusqu’à mon dernier souffle
Mais j’ai en moi le sentiment
Que mon inspiration s’essouffle
J’entends d’ici la mélodie
De cette chanson du déclin
Ses notes hantent mon esprit
Et je la chante pour un rien
Mais après tout s’arrêtera
La musique, les textes et la joie
Et le grand piano finira
Par brûler dans un feu de bois.
Puisque je n’y peux rien du tout
Puisque ce monde devient fou
Puisque vivre y est infernal
Faites sonner le point final...
La terre se change en fournaise
Les guerres déchirent les hommes
L’humanité est à la baisse…
Le quotidien devient critique,
L’horreur se change en tradition.
Et dans ce monde je me lève
Et tous les jours je marche au pas
Y’a plus de place pour le rêve
Parce que le rêve ne paie pas !

Publicité
11 novembre 2007

La dépression.

Il existe une maladie qui touche plus de 3 millions de personnes en France, une maladie qui peut vous empêcher de parler, de rire, de manger, de travailler, de dormir ou de vous lever le matin, une maladie qui peut vous empêcher de vivre, cette maladie, c’est la dépression.

11 novembre 2007

AuroraBorealis

Un pas de plus, un pas de plus et tout s’arrête, tout prendra sens, allons crier notre joie, je me lasse de chuchoter ma peine, j’ai mal au crâne, fermons les yeux, suivons les voix, dérive nocturne improvisée, sors de ton lit, mais sors de ton lit, je t’y trouve comme emprisonnée, apprivoisée et abattue, lève la tête et regarde la vie bien dans les yeux, je suis sûr qu’il y a mieux, quelque part, où est donc passé cet optimisme qui débordait jadis, où est passé l'optimisme de nos rêves, garde les yeux fermés,nous allons partir, nous serons bientôt en route, garde les yeux fermés… Nous n’en reviendrons plus…

10 novembre 2007

Dissociated_Friendship_by_bananaflip

Les deux silhouettes s’allongent,
Côte à côte dans le grand lit
Le même désir qui les ronge
Le besoin de quitter l’ennui.
Sur le dos et main dans la main,
Ils déconnectent leur esprit
Les yeux fermés pour être bien,
Ils se branchent sur l’infini.
On ne distingue que deux formes.
Deux êtres sombres qui s’endorment
Ensemble ils vont faire croisière
Sur un océan de lumière.
C’est dans un monde un peu plus doux
Sans nation et sans garde à vous,
Qu’ils se sont donnés rendez-vous
Nos deux amants lassés de tout.
Sur les chemins de l’inconscient
Ils parcourent tranquillement
Les plaines noircies du sommeil
Les horizons pleins de soleils.
Survolant d’immenses vallées
Aux milles couleurs parfumées,
Un monde fleuri et sucré
Où l’on voudrait s’abandonner…
Toma s'éblouie s'extasie
Dans cette immense féerie
Il est pressé de retrouver
Ce pays qu’il a visité.
Mais quand il se tourne vers elle,
La belle Célia étais plus là
Il s’exclame vers l’éternel,
Mais son amour ne répond pas...
"Célia, Céliamais ou est tu ?
J’ai peur je ne te vois plus !
On avait pris rendez-vous dans un rêve,
Dis moi, t’en souviens-tu ?
Célia, Célia je t'ai perdue... ?"
Dans l’ombre de la chambre froide,
Célia se reveille en sueur
Son âme descend de l’estrade
Et quitte l’antre des rêveurs...
A côté d’elle dans les draps,
Toma gémit dans son sommeil
Il n’entend pas que le réveil
Hurle sans cesse : « Lève-toi ! »
Il reste là, les yeux fermés,
Et le sourire au bord des lèvres
Profondément anesthésié
Le front brûlant, suant de fièvre.
Susurrant d’étranges dialectes
Venus de lointaines chimères
Loin de ce quotidien infecte
Loin des douleurs de notre sphère.
Elle secoue son corps en vain,
Ses paupières restent fermées
Et son esprit semble si loin,
Comme coincé dans ses pensées
Gesticulant dans son délire,
Et murmurant des phrases folles ;
Toma ne peut pas revenir
Il s’est perdu dans son envol
Etrange coma volontaire,
Alternative radicale,
Un allé simple imaginaire,
Pour un monde peuplé d’étoiles.
Lola finit par fondre en larmes,
Désespérée et affolée,
Le voyage a tourné au drame,
Tout d’un seul coup s’est écroulé…
Prisonnier quelque part là-bas,
Dans une cellule infinie,
Soulagé du terrible poids,
Qu’il portait sur son dos ici.
Le jeune rêveur est parti
Rejoindre un royaume inconnu,
Un idéal, un paradis,
Un bonheur qu’il avait perdu…

9 novembre 2007

Je me prends à rêver
Dans mon 25 m²
Que derrière ma fenêtre, que derrière monrideau
Je serai quelqu’un pour les autres
Écrire aussi bien que celui qui meurt
Assez bien pour qu’au moins une personne m’écoute
Celle dont les oreilles sont si fragiles
Que seuls les bons mots pourront effleurer sans blesser
Je ne suis pas mourant
Ma vie est simple et emmerdante
Que dois-je faire pour sortir du lot ?
Tu me dis que la vie ça se construit
Mais je laisse filer la mienne sans même tenter de la détruire
Je ne veux pas mourir, dans l’oubli j’entends bien
Je laisse des traces sur des papiers de glace
Sans jamais imprégner les esprits
Je suis égoïste, merde je veux être unique
Je veux que disparaître te crève
Je veux que vivre te comble
Je veux pleurer et te faire rire
Arrêter de ne rien sentir
De regarder les années par avance
Sans qu’aujourd’hui me touche
Je suis déjà vieux
Mon coeur putride sent déjà la famine
Depuis que j’ai trouvé un macchabée dans mon placard
La flamme s’est éteinte ou n’est qu’une
étincelle qui brûle si vite
Donnez-moi de l’amour
Et je vous donnerai du mépris
Repoussez-moi et je vous aimerai
Le bonheur m’emmerde
Taillez ma vie à coups de hache
Ne me laissez pas bosser 40 ans derrière un PC
Laissez-moi écrire,
Sinon vous me tuez et vous pourrez bouffer mon cœur
Comment te dire que je veux t’aimer
Comment me dire que je peux y arriver
Même que ça doit pas durer, il reste deux manières d’en jouir
Et si je le dis pour pas le faire
Alors je ferai mieux de me taire
Alors j’en rajoute juste une dernière
Et je ferme ma gueule

Publicité
9 novembre 2007

01084_attraction_1440x900

Des jours entiers sans savoir où j'en suis,
Chaque nuit qui passe à ressasser mes idées noires...
Comme un brouillard qui me cache la mémoire
J'ai peur de demain, et mon passé me fuit!
Et j'entends sa voix qui monte jusqu'à moi
Et je sens grandir la panique et l'effroi
Y'a comme un trou noir qui tombe sur mes yeux, parfois.
Je ne me souviens pas...
La nuit fait place à un soleil de glace
J'ai rêvé, je crois, mais je n em'en souviens pas...
Devant mes yeux, ces images qui repassent :
Ma main qui se lève, jalousie dérisoire !
Non, je n'ai pas voulu ça, quelqu'un s'est emparé de moi
Je sais que vous ne me croyez pas, le cauchemar n'en finit pas!
Pourquoi me couvrir d'opprobre, et pourquoi ces regards en coin ?
Mes amis fuient et se dérobent, me traitant comme un assassin....
C'est une erreur, je vous le dit: vous avez surement mal compris !
On me murmure à l'oreille des horreurs qui sont sans pareille.
Peut-être si je ferme les yeux, peut-être bien tout ira mieux ;
Je pourrai revoir le Soleil...!

9 novembre 2007

070830200341_81

Encore une journée qui s'acheve

Encore une journée qui m'enleve

Un d'mes reves inavoué

A mes desirs de liberté

Je ne veux pas perdre ma tete

Qu'avons nous fait pour vivre ici dans se pays maudit

Qu'avons nous fait pour vivre si loin du paradis

Qu'avons nous fait pour meriter

Comme peut on se contenter

D'une vie tranquille et bien rangée

Ce laisser allé sans reagir et se laissé mourir

Donnez moi s'il vous plait une raison d'exsister

6 novembre 2007

AuroraBorealis

Quand je regarde dans tes yeux je peux voir le soleil se lever

On dirait que tu m'as donné la chose qui manquait a ma vie

La chose que j'ai arrete de chercher

Car j'ai simplement pensé que je n'allais pas trouver

Mais comment aurais-je pu trouver alors qu'il n'y a pas de lumiere dans ma nuit

Comment aurais-je pu trouver quand il y a des nuages et pas de soleil ?

Tu me remplis de joie, chaque moment est une surprise

Tu m'as liberé, tu m'as fait quitter cette place pour marcher

Tu n'es pas une illusison, non, tu es la vérité

N'oublie jamais, c'est toi, toujours toi

...

6 novembre 2007

New_Recipe_by_RockstarVanity

Mais je termine toujours de joué le jeux,

Car, je ne veux pas de se sentiment a l'interieur de moi,

Devoir être figé sans voix

Puis j'ai pas le choix...

3 novembre 2007

Play_Things__by_Th3_Maartyr


Je déchire votre connerie de poème 
Je détruis votre positivité
Je nique ça pour le voir saigner
Je le tape pour le faire crier
Je suis le choix alternatif   
Vous voyez la beauté, je vois la douleur
Vous voyez le ciel, et je vois la pluie acide   
Je t'égorge sur un caprice
Je demande juste tout
J'appuie dessus pour le sentir respirer
Je le brise pour attiser ce besoin
Je suis l'antidote
Quelques soient les maladies qui te nourrissent      
Tous tes connards de suceurs ne peuvent pas saisir la chaleur
Ton sang se précipitant de la tête aux pieds
C'est ce que je représente 
Je suis plus résistant que tu ne le peux 
C'est encore moi

Publicité
1 2 3 > >>
Publicité
Archives
Publicité